Déjà, je suis touchée que vous vous intéressez à mon travail. Merci!

Je m’appelle Myriam Jazouli, photographe et passionnée par les histoires humaines et les moments empreints de vérité.

Dans cette exposition, je partage 15 photos capturées lors d’un périple unique au Maroc. Une aventure en partie solitaire mais profondément connectée à mes racines marocaines.

Ce voyage a été pour moi un retour aux sources, un besoin vital de redécouvrir ce qui m’habite et m’anime. Au fil des rues animées, des paysages arides et des visages marqués par le temps, j’ai cherché à capter plus qu’une image : des instants sincères, des fragments d’âme, de mon identité.

Ces photos ne sont pas que des clichés, ce sont des rencontres. Chaque image raconte une histoire où se mêlent mon regard de photographe et mon cœur en quête de sens. Elles reflètent mon besoin constant d’authenticité, que je poursuis également dans mon travail ici, en capturant la vie des autres avec douceur et lumière naturelle.

 Ce pays, celui de mon père, est un peu mon baobab — un arbre aux racines profondes qui me relie à la terre et aux étoiles, et qui a bercé mes rêves d’enfant.

A travers ses photos, je veux partager un voyage intime où se croisent les paysages grandioses du Maroc et les souvenirs imaginaires de mon enfance.

Je vous invite à plonger dans cet univers, à la fois authentique et imaginaire, et à découvrir le Maroc tel que je le vois — une œuvre entre rêves et réalité.

Mon choix de cadres

Derrière chaque photo, une histoire. Derrière chaque cadre, un passé. Pour cette exposition, j’ai choisi de donner une seconde vie à des cadres usagés. Chaque rayure, chaque patine raconte un récit, tout comme les images qu’ils contiennent. C’est une ode à l’imperfection, à l’authenticité, et un engagement envers une démarche plus respectueuse de l’environnement.

Les cadres, comme les personnes et les paysages, portent les marques du temps. En utilisant des cadres usagés, je souhaite souligner l’unicité de chaque œuvre et créer un dialogue entre le passé et le présent. Ces cadres, chargés d’histoire, offrent un écrin unique à mes photographies. C’est aussi un choix conscient pour réduire mon impact environnemental et valoriser des objets qui auraient pu être jetés.